Abstract L’articolo si propone di indagare la ricezione della nozione di segno di Ferdinand de Saussure in Italia in seguito alla pubblicazione del Cours de linguistique générale. All’interno di questa prospettiva, Mario Lucidi e Walter Belardi ebbero un ruolo pioneristico nella diffusione e nell’esegesi della teoresi di Saussure, oggetto di studio privilegiato nella storiografia linguistica. Lucidi e Belardi reinterpretarono, infatti, il signe saussuriano come “segno-frase” alla luce degli insegnamenti del loro comune maestro Antonino Pagliaro. In ultima analisi, l’articolo prende in esame la relazione fra l’opera di Saussure e la teoria sviluppata da Lucidi e Belardi.
Parole chiave: Pagliaro, Scuola romana, segno, frase.
En Avril 2018, M. Amin Shakeri réussit à rassembler dans le même moment et dans les mêmes locaux (ceux du Laboratoire Histoire des théories linguistiques de l’Université de Paris) deux spécialistes de l’histoire et des frontières de notre discipline : Sémir Badir et Christian Puech.
Ce rencontre est témoigné par l’entretien que M. Amin Shakeri vient de publier dans le numéro 3 des Dossiers d’HEL consacré aux « [S]tructuralismes linguistiques. Problèmes d’historiographie comparée », numéro dirigé par Ch. Puech, avec la collaboration de Jacqueline Léon et Elisabeth Lazcano.
Le panorama qui se dessine au fil de ce texte est très riche et mouvementé. Non seulement Ferdinand de Saussure et Louis Hjelmslev y participent, mais aussi les grandes figures qui ont lourdement pesé au cours du vingtième siècle : de Roman Jakobson à Nikolaï Troubetzkoy, de Leonard Bloomfield à Noam Chomsky à Obelix.
An english version beside the french one is not the only novelty in the second call for submissions for Cahiers Ferdinand de Saussure 74-75 (2021-2022).
Les Cahiers Ferdinand de Saussure sollicitent pour leur numéro 74-75 (2021-2022) des articles inédits, à vocation théorique, descriptive ou historiographique, relevant de ces domaines : l’étude de la pensée et de l’héritage de Ferdinand de Saussure, entendus au sens large, l’actualité de la recherche en linguistique générale, en sémiologie et en histoire et épistémologie de la linguistique.
A côté des articles portant sur des thématiques libres, le numéro 74-75 des Cahiers rendra hommage à Jean Starobinski récemment disparu (1920-2019). Une section thématique lui sera consacrée à l’occasion du cinquantenaire de la publication des Mots sous les mots. C’est pourquoi, après les nombreuses études et numéros de revues consacrés à l’œuvre critique de Jean Starobinski – Critique, 687-688 (2004), Littérature, 161 (2011), Critique, 853-854 (2018), Europe, 1080 (2019) – les Cahiers sollicitent des articles portant plus spécifiquement sur les relations entre la pensée de Saussure et celle de Starobinski.
Parmi les points que l’on pourra aborder : • le rôle des sciences du langage, et spécifiquement de la pensée saussurienne, dans l’œuvre de Starobinski ; • ses relations avec les linguistes et sémiologues de l’école de Genève et avec les linguistes de tradition saussurienne ou structuraliste ; • le travail de Starobinski relatif aux anagrammes de Saussure ; • sa réception, ses traductions, son influence, son actualité ; • etc.
Les articles soumis doivent se conformer aux normes éditoriales : voir les instructions aux Auteurs. Les langues de la revue sont l’anglais et le français.
Nouveau calendrier : – 31 octobre 2021 : date limite de réception des articles. – 15 janvier 2022 : retour d’évaluation, notification aux auteurs. – Printemps 2022 : publication du numéro.
À Ferdinand de Saussure vient d’être dédié un nouveau fonds spécialisé parmi les collections du Centre de documentation du laboratoire Histoire des Théories Linguistiques (Paris), un fonds documentaire qui a pour thématique principale l’histoire de la linguistique, depuis l’Antiquité jusqu’à nos jours.
Le fonds Ferdinand de Saussure a été créé grâce au don de Françoise Gadet et aux ouvrages déjà présents sur les étagères du Centre de documentation du Labo HTL.
La présentation et la bibliographie du fonds Ferdinand de Saussure se trouvent à cette adresse :
C’est une bonne occasion pour réviser nos Ressources électroniques, qui sont constamment mises à jour et qui intègrent désormais cette nouvelle entrée.
Le sentiment linguistique chez Saussure, sous la direction de Gilles Siouffi. Lyon : ENS Editions (Langages), 2021, 192 pages, ISBN 979-10-362-0328-2, € 23 Notice de l’Éditeur avec Sommaire
« Tout ce qui est dans le sentiment des sujets parlants est phénomène réel », écrivait Saussure dans les années 1880 en vue d’un possible cours de morphologie. Mais le terme sentiment ne fait pas partie de ceux, tels signe, système, synchronie ou diachronie, qu’on associe au canon des concepts saussuriens. Le projet de cet ouvrage est de montrer au contraire que le sentiment linguistique occupe une place essentielle dans la pensée du linguiste genevois, et qu’il est peut-être l’instance principale qui lui permet de définir ce qu’il appelle la « langue ». Les contributions de cet ouvrage mènent l’enquête autour de ce qu’on peut appeler le sentiment linguistique chez Saussure, en explorant les inspirations que Saussure a pu prendre chez ses prédécesseurs, étudient les diverses inflexions que le motif prend chez lui, notamment à partir des sources manuscrites, et explorent les enjeux de la notion aujourd’hui. Prenant place dans le champ de l’histoire des idées linguistiques, il est aussi susceptible d’ouvrir de nouvelles pistes de recherche sur l’appréhension des faits linguistiques par le sujet parlant.
Contributions de : Gilles Siouffi, Vincent Nyckees, Bruno Courbon, Emanuele Fadda, Loïc Depecker, Philippe Monneret.
Saussure e a Tradução objetiva derivar da linguística de Saussure uma refl exão acerca da tradução. Há vários motivos para propô-la: a) a necessidade de reler Saussure a partir de novas bases, levando em conta a especializada filologia saussuriana e a crescente divulgação de manuscritos que, hoje, permitem rever o destino dado a esse pensamento no século XX; b) a pertinência da teoria para a abordagem da tradução, considerando a amplitude que tem uma visão de conjunto da língua – articulada à diversidade das línguas – para tratar o fenômeno tradutório; c) finalmente, a prática tradutória de Saussure, tendo em vista que recentes documentos atestam que Saussure era um tradutor e, ainda mais, que essa atividade se coaduna com o seu pensamento acerca da linguagem, da língua e das línguas. O livro também reúne reflexões comparativas ao filósofo-linguista alemão Wilhelm von Humboldt que, como se sabe, legou importantes ideias sobre o fazer tradutório a partir da tradução da peça teatral Agamêmnon, de Ésquilo. Recentes manuscritos saussurianos comprovam que a mesma peça foi também traduzida por Saussure. Nesse caso, uma contraposição entre as duas traduções é feita a partir das discussões que ensejam os comentários feitos pelos tradutores. Tudo isso é pensado no quadro de uma antropologia da enunciação, ou seja, de uma reflexão que coloca o Homoloquens, o falante, no centro da reflexão. No caso em questão, o falante é nada mais nada menos que o tradutor Ferdinand de Saussure.
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